La gestion des peurs
Toi, ma peur,
Toi, qui fais battre mon cœur trop vite dans les moments importants de ma vie,
Toi, qui fais trembler mon corps sans que je puisse le contrôler,
Toi, qui mets une boule dans ma gorge m’empêchant de m’exprimer librement,
Toi, qui fais monter les larmes dans mes yeux me faisant perdre confiance,
Toi, qui serre mon estomac au point de ressentir une douleur, une aigreur,
Toi, que je redoute et qui a une si grande influence sur la vie, mes choix,
Toi, qui me paralyse et m’empêche de réaliser mes rêves !
Qui es-tu ? D’où viens-tu ?
- L’impression de ne pas être « bien » : A quoi ressemble une personne « bien »? Bien en fonction de qui, de quoi ? Dois-je être bien par rapport à un schéma social au risque de passer à côté de mon bonheur ? Dois-je mener un combat permanent pour être un autre que moi et devenir ce que les autres voudraient que je sois ? Est-ce cela le but de ma vie ? La pratique de la sophrologie peut vous permettre de vous accepter tel que vous êtes.
- L’appréhension de parler : Pourquoi m’a-t-on appris à me taire ? Pour éviter le jugement des autres ? Pour ne blesser personne ? La vérité n’est-elle pas toujours bonne à dire ? Le fait de m’exprimer librement n’est-il pas un échange honnête avec les autres et un moyen d’échanger des idées, d’apprendre, de partager ? La communication pas toujours positive ? Le silence ne m’étouffe t-il pas à petit feu ? Ou ce silence n’est il pas une autre condition à ce que je sois une personne « convenable »? Apprenez à être vous même et à avoir confiance en vous avec l’aide d’un sophrologue.
- La sensation d’échec : Qu’est-ce que la réussite ? Sociale ? Financière ? A quel niveau est-elle reconnue comme acquise ? Ma réussite, celle que je souhaite, celle qui me convient n’est pas assez bonne ? Cette réussite est établie en fonction de qui, de quoi ? Cette réussite serait-elle une option supplémentaire pour être une personne « respectée »? Fixez-vous l’objectif de retrouver l’estime de vous en vous faisant accompagner par un sophrologue.
- L’angoisse de la maladie : Qui m’a dit que la maladie est toujours négative ? N’est-elle pas la seule option de mon corps pour me faire comprendre que quelque chose ne va pas dans ma vie ? Pourquoi fuit-on les malades ? Ne sont-ils pas des gens comme les autres ? Ne dit-on pas que les gens qui ont souffert ou souffrent sont des gens beaucoup plus ouverts, beaucoup plus à l’écoute des autres, compréhensifs, sages et riches d’expériences ? Mais encore une fois dois-je être en bonne santé pour être une personne « aimée » et reconnue en tant que telle ?
- La Peur de mourir : Voici la plus répandue ! Qui m’a inculqué l’idée que la mort est une fin ? Pourquoi ne serait-ce pas le début de quelque chose de mieux ? On gagne sa vie pourquoi ne gagne-t-on pas sa mort ? La naissance se fait dans la douleur (tout comme la mort) et apporte la délivrance pourquoi pas la mort ? La naissance ouvre à la vie sur terre, pourquoi la mort n’ouvrirait-elle pas sur la vie ailleurs ? Mais ne faut-il pas rester longtemps sur terre pour avoir le temps de devenir une bonne personne ? Ne dit-on pas que les meilleurs partent en premier ?
Quoique je fasse, que j’avance, que je sois immobile, accompagné ou seul, elle est cachée en moi, prête à bondir ! Elle fait partie de moi. Et si je décidais de m’en servir comme d’un baromètre ! Mon appréhension n’est-elle pas proportionnelle à mon envie de changement, à ce que je veux vraiment tout au fond de moi ? N’est-elle pas plus forte quand je souhaite vraiment réussir ce que je suis en train de faire ? N’ai-je pas des doutes lors de grands changements positifs dans ma vie ? Que se passerait-il si plus j’appréhendais, plus je redoublais d’efforts pour obtenir ce que je veux vraiment ? Serait-elle obligée de disparaître ? Si consciente de l’enjeu je la transformais en confiance et en force ? Si je me servais de cette poussée d’adrénaline qu’elle provoque pour réussir ce que je suis en train d’entreprendre ! Cette émotion ne doit pas prendre le dessus sur notre vie, sur nos choix, nous devons la combattre en faisant justement ce que nous appréhendons pour inverser la tendance et parvenir à devenir ce que nous sommes vraiment au fond de nous ! UNE PERSONNE UNIQUE selon nos propres critères et nos propres ressentis.
Souvenez-vous que vos croyances vous ont été données, vous ne les avez pas choisies. Celles qui vous rendent malheureux doivent-être modifiées.
Retrouver son libre arbitre c’est se donner le droit de prendre ses propres décisions.
La Sophrologie est la meilleure technique pour se libérer de la peur et avancer sur son chemin avec confiance.